De ce qu’il pu en conclure, il n’avait pas été suivi. Arrivé à St Sernin face à l'Hôtel Astrado du chevalier excentrique, Géroni soupira, soulagé. Il pouvait entendre le son des outils frappant le bois, signifiant que les deux ouvriers, Sylvain Lacourt et Ernest Cuq, avaient continué le chantier commencé le lundi précédent, sans même avoir été payés.
Géroni toqua et le valet de Malastre ouvrit la porte. Ce dernier reconnu le visage du charpentier, ne fit aucun commentaire sur ses bleus et le laissa entrer.
- Géroni Capuser !
Malastre ouvrit grand les bras pour marquer sa satisfaction et le soulagement de voir son charpentier. Il s’approcha de lui à grandes enjambées.
- Et bien, où étiez-vous passé durant tout ce temps ? Vos hommes se sont inquiétés, il semblerait que votre maison à Matabiau se soit vidée… Dieu merci, j’ai pu les convaincre de rester !
Sans même avoir remarqué les bleus du jeune Capuser, il porta ses mains en entonnoir et dirigea son porte voix vers les escaliers.
- Sylvain ! Ernest !Votre patron est là !
- Ben alors patron, qu’est qui vous est bien arrivé ??!Vous avez des problèmes ?!
Géroni toqua et le valet de Malastre ouvrit la porte. Ce dernier reconnu le visage du charpentier, ne fit aucun commentaire sur ses bleus et le laissa entrer.
- Géroni Capuser !
Malastre ouvrit grand les bras pour marquer sa satisfaction et le soulagement de voir son charpentier. Il s’approcha de lui à grandes enjambées.
- Et bien, où étiez-vous passé durant tout ce temps ? Vos hommes se sont inquiétés, il semblerait que votre maison à Matabiau se soit vidée… Dieu merci, j’ai pu les convaincre de rester !
Sans même avoir remarqué les bleus du jeune Capuser, il porta ses mains en entonnoir et dirigea son porte voix vers les escaliers.
- Sylvain ! Ernest !Votre patron est là !
Les outils se firent silencieux et Géroni pu entendre le craquement du parquet, au dessus de leur tête. Derrière Malastre, une grosse femme passa en bougonnant. C’était de toute vraisemblance la cuisinière du Chevalier. Le jeune charpentier pu voir ses deux employés descendre des escaliers. Sylvain Lacourt semblait heureux de le revoir et exprima tout l’étonnement qu’avait accompagné l’absence de Géroni, du jour au lendemain. Ernest Cuq, quand à lui, resta silencieux comme à l’ordinaire, le visage fermé et inexpressif. Ils se serrèrent les mains. C’est Sylvain Lacourt qui, le premier, s’inquiéta pour Géroni en voyant ses bleus.
- Ben alors patron, qu’est qui vous est bien arrivé ??!Vous avez des problèmes ?!